Allégorie puissante que celle de l'enfant plantant un arbre. C'est la fin du spectacle commémorant le bicentenaire de la Révolution française. C'est aussi un geste d'espoir, celui d'un passeur qui relie les temps, les erreurs, les cassures et les injustices... pour que renaisse et se multiplie, la vie.

Des androïdes, peut-être plus humains que nature, parce que l'on peut encore leur prêter quelque pensée juste, et féconde. Et alors renaît l'espoir que nous abritons quelque chose d'enfoui, et qu'il est encore possible d'aller à sa rencontre.

Ces androïdes ont été réalisés avec la société ARTGROUP, créée en 1973 et spécialiste du design global pour les loisirs culturels. Seul en cette époque, à maîtriser, au sein d'une même structure, la vision artistique et son environnement technologique. C'était en 1989, avant la chute, l'arrivée sur Paris de Disney et de son empire du loisirs de masse, qui a torpillé en quelques mois, par des commandes non payées, environ 27 sociétés, dont ARTGROUP.

Il y a plusieurs événements, je les détaillerai plus loin, les contenus des spectacles, les décors, les costumes, et les commanditaires.